La principale ressource

Le Denier est la principale ressource pour une diocèse et ses paroisses, même s’il ne permet pas, seul, de couvrir toutes les dépenses. En complément, les fidèles apportent leur soutien matériel grâce aux quêtes, aux offrandes de messes, au casuel (offrandes effectuées lors des baptêmes, mariages, obsèques), aux dons libres et legs, aux offrandes diverses (cierges, troncs). Aucune subvention n’est reçue, ni du Vatican ni de l’État.


Un don pas comme les autres

Le Denier n’est pas un don comme un autre, uniquement motivé par la générosité. Il est une contribution volontaire qui repose sur le fait d’être membre de l’Église et de vouloir participer à sa vie matérielle. Il fait donc appel au sentiment d’appartenance et de fidélité envers l’Église, et manifeste l’attachement à la personne du Christ et aux valeurs chrétiennes. En tant que baptisé, chacun est ainsi invité à participer au Denier, dans la mesure de ses possibilités, même modestes.


L’important… c’est de participer

Le montant du don est laissé à l’appréciation de chacun. L’Église propose comme repère de donner l’équivalent de 1 à 2% de son revenu annuel. Tout participation, même modeste, est précieuse. Au-delà des inquiétudes face à ces temps troublés, en donnant au Denier, on pose aussi un acte de foi et de confiance pour le présent et l’avenir.


Dans le diocèse ? 

En 2017, la collecte du Denier s’est élevée à 2 596 476 €, soit une hausse de 18 381 € par rapport à 2016. Le nombre de donateurs, lui, a continué de diminuer (- 1,64 %). La contribution de chacun a permis à Mgr Dufour d’appeler dans le diocèse une communauté de 3 prêtres à Arles, de 3 religieuses à Meyrargues et de 6 consacrées à Salon. Notre archevêque souhaiterait pouvoir continuer à appeler au moins deux autres communautés en 2018, pour poursuivre la dynamique de transformation missionnaire dans nos paroisses et notre Église diocésaine. Grâce à vous.