Le conseil épiscopal élargi : encore plus près des attentes des paroisses

 

Pour bien comprendre la mission de ce conseil « revisité », revenons un peu en arrière et reprenons quelques bases …

 

Le diocèse d’Aix et Arles, comme tous les diocèses, est « piloté » par l’archevêque et son conseil épiscopal. Il s’agit d’une équipe qui entoure l’évêque pour l’assister et le conseiller dans sa mission de gouvernement. Sur le diocèse d’Aix et Arles, le conseil épiscopal est composé de notre vicaire général (le père Michel Desplanches),  de deux vicaires épiscopaux (le père Jean-Yves Théry, le père Maurice Rolland), du supérieur du séminaire (le père Christophe de Dreuille), et de deux laïcs (l’économe Daniel Favreau et l’animatrice de la Fraternité Missionnaire Diocésaine, Hélène Lizée). Il se réunit tous les vendredis matin pour, entre autre, décider des missions pastorales, nommer les prêtres, régler les différents problèmes lorsqu’il y en a, gérer les finances, veiller à la bonne marche du diocèse, …

 

Depuis deux ans, pour enclencher un processus de conversion pour une transformation missionnaire, Mgr Dufour a souhaité créer la Fraternité Missionnaire Diocésaine. Cette dernière, composée de religieuses et laïcs travaillant pour les services diocésains, prie et travaille ensemble chaque mardi pour soutenir le dynamisme pastoral des paroisses.

 

Il y a donc ces deux entités qui, chacune de leur côté, travaillent sur la transformation missionnaire du diocèse. Une, de façon plutôt « stratégique » et l’autre, de façon plutôt « expérientielle ». Le but est donc d’articuler ces deux instances pour une meilleure coordination au service de la mission.

 

Le conseil épiscopal élargi est donc composé des membres du conseil épiscopal, du père Thomas Poussier, et de Sœur Elena et Anne de Livron, de la Fraternité Missionnaire Diocésaine. Tous, se réunissent une fois par mois pour dans un premier temps faire un état des lieux du diocèse et ensuite définir le chemin à suivre pour l’avenir.

 

Le premier conseil, qui a eu lieu au mois d’octobre, a entamé le travail dans le dialogue et l’écoute mutuelle. En effet, chacun est arrivé avec une forte envie de participer et de partager ses intuitions et ses idées avec l’ensemble du conseil. Il en est ressorti un sentiment profond qu’il faut agir dès maintenant pour bâtir l’Eglise de demain.